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 Presbytie ou fatigue oculaire

En plus de rendre la vision de près difficile, la presbytie peut provoquer des rougeurs et des démangeaisons des yeux. Apprenez-en davantage à ce sujet dans cet article.


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La presbytie est un défaut de vision communément appelé “fatigue visuelle”. Vous avez certainement remarqué que la plupart des personnes de plus de 50 ans commencent à tenir à distance des livres, des téléphones portables ou de tout autre objet parce qu’elles ne sont pas en mesure de bien le voir de près.


Il s’agit d’un processus qui touche environ 85 % des personnes âgées de plus de 45 ans. Le cristallin, qui est la lentille transparente de l’œil, perd de son élasticité et la vision de près devient nettement plus difficile.


Malheureusement, la presbytie ne peut être évitée. Cependant, elle peut être traitée et améliorée. C’est pourquoi cet article explique tout ce que vous devez savoir sur la presbytie pour vous permettre d’en identifier plus facilement les symptômes.


Qu’est-ce que la presbytie ?

Le cristallin est une partie transparente de notre œil qui agit comme une lentille naturelle. Sa fonction est de focaliser les rayons lumineux sur la rétine, afin que le processus de vision se déroule correctement.


Au fil des ans, le cristallin devient de plus en plus opaque et moins élastique. Cette perte d’élasticité est à l’origine de la presbytie. En réalité, il s’agit d’un processus physiologique et normal qui accompagne le vieillissement. Par conséquent, la presbytie ne peut être classée comme une maladie.


Ce qui se passe, c’est que vous perdez la capacité de voir clairement les choses proches de vous. En d’autres termes, la vision de près se détériore. Les symptômes commencent à apparaître à partir de l’âge de 40 ou 45 ans.


Une femme aux yeux fatigués.

Quels sont les symptômes de la presbytie ?

Le symptôme principal et le plus évident est qu’il devient difficile de faire la mise au point sur des objets à courte distance. Par exemple, il est très facile de le constater en lisant un livre ou en regardant quelque chose sur l’écran d’un téléphone portable. Les personnes atteintes de presbytie commencent à éloigner ces objets afin d’être en mesure de voir clairement.


Un autre symptôme courant est un mal de tête, surtout lors de la lecture. De même, les yeux se fatiguent et se lassent. De nombreuses personnes ressentent des picotements, des yeux secs, des rougeurs et des larmoiements.


En outre, les symptômes sont souvent pires la nuit et dans des situations où la lumière est plus faible ou plus sombre. En fait, à mesure que l’âge augmente, le défaut devient de plus en plus intense et les symptômes s’aggravent.


Existe-t-il un moyen de prévenir ou de traiter la presbytie ?

Comme il s’agit d’un processus naturel, il ne peut être évité. Il existe certains moyens de retarder son apparition, bien qu’il n’ait pas été prouvé qu’ils soient vraiment utiles. L’idée est de maintenir une bonne hygiène visuelle.


Pour ce faire, il est tout d’abord important de reposer vos yeux de temps en temps. Surtout lorsque vous travaillez constamment devant l’ordinateur. Il est conseillé de faire des pauses d’une demi-heure pour détendre vos yeux.


Il est également conseillé de passer du temps à l’extérieur, à la lumière naturelle. En outre, lorsque vous vous promenez ou prenez un bain de soleil, vous devez protéger vos yeux avec des lunettes de soleil. Ce sont des mesures de base pour prendre soin de votre vue en général.


Une femme portant des lunettes.

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Traitement

Le traitement de la presbytie repose sur l’utilisation de lunettes, de lentilles de contact ou sur la chirurgie. Tout d’abord, les lunettes peuvent être des lunettes de lecture, des lunettes à double foyer ou des lunettes progressives. Les lunettes de lecture ont toujours été les plus utilisées, mais elles sont de moins en moins recommandées, car elles ne sont utiles que dans un but précis.


Les lunettes à double foyer sont aujourd’hui presque obsolètes. En revanche, les lunettes progressives vous permettent de concentrer votre vision à toutes les distances, de près comme de loin. La partie supérieure de la lentille corrige la vision de loin, tandis que la partie inférieure améliore la vision de près. Le changement entre les zones est progressif.


Bien qu’il s’agisse d’une option légèrement plus complexe, il existe actuellement de nombreuses techniques chirurgicales permettant d’améliorer sensiblement la presbytie. La meilleure chose à faire est de consulter un ophtalmologue qui vous aidera à décider du meilleur traitement pour vous, en fonction de vos symptômes, de votre âge et de votre état général.


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En conclusion

La presbytie, également appelée fatigue visuelle, est un processus normal qui accompagne le vieillissement. Elle consiste en une diminution de l’élasticité du cristallin au fil du temps, et la vision de près devient plus difficile. Il est impossible de la prévenir, mais il existe actuellement de nombreux moyens d’améliorer ces défauts de vision.

Presbytie ou fatigue oculaire

                                 

Si vous avez 20 ans ou plus, vous devez faire mesurer votre cholestérol au moins une fois tous les cinq ans. Un examen du sang appelé panel de lipoprotéines peut mesurer vos niveaux de cholestérol.


Le problème de cholestérol est une menace pour la santé presque invisible. Vous pouvez en avoir un niveau élevé et ne pas vous en rendre compte jusqu’au jour où vient l’analyse de routine et ses conséquences à endurer. Comment cela peut-il arriver si vous n’abusez pas des graisses ni des charcuteries ou de la viande rouge dans votre alimentation ?



Il y a d’autres facteurs que vous ne prenez peut-être pas en compte et qui influent de manière décisive dans votre niveau de cholestérol. Dans cet article, découvrez les erreurs vous pouvez commettre sans vous en rendre compte et ce qui fait grimper votre cholestérol. Continuez à lire, apprenez-en plus et améliorez votre problème de cholestérol !


Qu’est-ce que le cholestérol ?

Définition du cholestérol.

 Le cholestérol est nécessaire à l’organisme mais, en excès, il s’accumule dans les vaisseaux sanguins et déclenche des problèmes cardio-vasculaires.


Le cholestérol est une substance graisseuse molle et cireuse qui se trouve dans n’importe quelle partie de l’organisme et du sang. Celui-ci a beaucoup de fonctions utiles qui contribuent à une bonne santé. Il aide à ce que les cellules fonctionnent de manière adéquate et joue un rôle dans la production de certaines hormones.


Cependant, un taux de cholestérol trop élevé dans le sang peut mener à un risque plus haut d’infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral.


 

Comment se mesurent vos niveaux de cholestérol ?

Si vous avez 20 ans ou plus, vous devez mesurer votre cholestérol au moins une fois tous les cinq ans. Un examen du sang, appelé panel de lipoprotéines peut mesurer vos niveaux de cholestérol. L’examen apporte des informations sur :


Cholestérol total : quantité totale de cholestérol dans le sang. Cela inclut les deux types : le cholestérol de lipoprotéine de basse densité (LDL, pour le sigle en anglais) et le cholestérol de lipoprotéines de haute densité ou HDL.

Mauvais cholestérol (LDL) : celui qui s’accumule dans vos artères et les obstrue.

Bon cholestérol (HDL) : aide à éliminer le cholestérol de vos artères.

Habitudes qui pourraient empirer votre problème de cholestérol

Le stress

Les études lient le stress au cholestérol.

Certaines études ont lié les hormones présentes dans le stress à la hausse des niveaux sanguins de cholestérol.


Le stress est un mal très fréquent de nos jours. Vécu sur le long cours et de manière soutenue, il peut occasionner des conséquences notables dans notre organisme. Cependant, est-il aussi coupable d’un haut taux de cholestérol ?


Le stress peut élever notre pression artérielle, occasionner des insomnies, des changements d’habitudes et des modifications dans notre rendement mental, comme dans notre humeur mais, est-il capable d’élever le cholestérol dans le corps humain ?


À ce sujet, une étude a observé que le stress mental et émotionnel a augmenté de 11 % les valeurs de cholestérol chez des garçons sains en comparaison avec le groupe témoin. Aussi, on trouve un lien entre cholestérol et cortisol, l’hormone du stress, laquelle peut être clé dans la relation entre pathologie cardio-vasculaire et dyslipidémie.


L’alcool

Quand il s’agit de cholestérol, la consommation d’alcool est une question d’équilibre. D’un côté, on a démontré que boire des quantités modérées d’alcool améliore les niveaux de « bon » cholestérol et a été lié à une réduction des maladies cardiaques.


D’un autre côté, boire trop d’alcool peut avoir un effet négatif sur les profils de lipides du sang, et en dernière instance sur la santé du cœur. Comme vous pouvez le voir, il s’agit de le consommer avec modération pour ne pas surpasser les limites permises et ne pas nuire à notre santé.


Le tabac : à éviter si vous avez un problème de cholestérol

Eviter le tabac en cas de cholestérol

 Le tabac, en plus d’augmenter le cholestérol dans le sang, est lié à d’autres maladies cardio-vasculaires et respiratoires.


Fumer affecte le système cardio-vasculaire de plusieurs manières, avec par exemple la réduction de l’oxygène et l’usure du cœur. Le mécanisme par lequel ces maladies apparaissent ou augmentent est le suivant : la nicotine pourrait augmenter l’agrégation plaquettaire, le cholestérol et les triglycérides dans le sang.


Le monoxyde de carbone augmente aussi le cholestérol dans le sang, entre autres dégâts. C’est pour cette raison que fumer des cigarettes light ne diminue pas le risque de maladies. En effet, le fumeur a tendance à inhaler plus de fumée pour compenser la dose de nicotine avec laquelle augmentera le monoxyde de carbone, augmentant ainsi les problèmes liés au tabac.


Les contraceptifs oraux

Les contraceptifs ont plusieurs effets secondaires dans la santé de la femme, et l’une d’entre elles peut être l’augmentation du cholestérol. Mais il faut savoir que tous les contraceptifs ne produisent pas les mêmes effets. Aussi, tous les types de cholestérol ne sont pas mauvais.


Les contraceptifs à base de progestatifs possèdent seulement une classe d’hormone et se présentent en général sous forme de minipilule. Ce type de contraceptifs a plusieurs avantages et est très efficace, en plus du fait que nous pouvons l’utiliser pendant l’allaitement.


Mais, malheureusement cela présente un effet hypercholestérolémique. Cette méthode, utilisée fréquemment, augmente le mauvais cholestérol ou LDL et réduit le bon cholestérol ou HDL. C’est pour cela que si vous optez pour ce type de contraceptifs il est indispensable que vous fassiez des analyses de contrôle régulièrement.

                     

Si vous avez un problème de cholestérol, rappelez-vous que…

Pour que le corps fonctionne bien, il est nécessaire qu’il y ait un équilibre entre les deux types de cholestérol, de manière à pouvoir éviter des problèmes cardio-vasculaires causés par des niveaux élevés de cholestérol. Une alimentation équilibrée et de l’exercice physique sont essentiels pour que vous puissiez vivre sainement et améliorer votre problème de cholestérol.


4 habitudes qui empirent votre problème de cholestérol

                                         

La dysfonction sexuelle féminine reste encore un sujet tabou. Pour cette raison, de nombreuses femmes rencontrent des difficultés dans leur sexualité mais n'en parlent pas, et ne cherchent pas de moyens efficaces pour les surmonter.


La dysfonction sexuelle féminine est un concept qui comprend diverses difficultés que rencontrent les femmes pour éprouver du plaisir sexuel. C’est un sujet qui est encore tabou.



Ceci est confirmé par les recherches menées par l’équipe de l’Université de Californie, publiées en 2003 dans la revue Fertility and Sterility. Afin d’approfondir l’expérience des personnes souffrant de dysfonction sexuelle, les chercheurs ont découvert que 40% des femmes ne cherchent pas l’aide d’un médecin même si elles éprouvent des difficultés à ressentir du plaisir sexuel.


En effet, le concept même de dysfonction sexuelle féminine fait l’objet de controverses. A proprement parler, cela ne s’applique qu’aux cas où les femmes ne sont pas à l’aise dans leur vie sexuelle. Par conséquent, le critère à appliquer est très subjectif.


Certaines femmes ont une libido très faible et n’atteignent pas facilement l’orgasme. Malgré cela, elles ne se sentent pas concernées par ce problème.


Dans ce cas, nous ne pouvons pas parler de dysfonction sexuelle féminine, puisque le facteur décisif est le degré de bien-être ou de mal-être que les femmes éprouvent dans leur vie sexuelle.


Qu’est-ce que la dysfonction sexuelle féminine ?

Une femme pensive et triste dans son lit souffrant de dysfonction sexuelle féminine

La dysfonction sexuelle féminine peut se définir depuis deux points de vue: l’un biologique et l’autre psychosocial. D’un point de vue biologique, cela correspond aux difficultés à expérimenter le désir, l’excitation ou l’orgasme. A cela, nous ajoutons les douleurs pendant le coït.

                                       

D’un point de vue psychosocial, la dysfonction sexuelle féminine se présente lorsqu’il y a un changement significatif dans le comportement sexuel habituel de la femme. Et quand ce changement entraîne en elle un conflit subjectif.


Il faut tenir compte du fait que la sexualité implique bien évidemment la mise en oeuvre de mécanismes physiologiques, mais également un ensemble d’émotions, de croyances, de modes de vie, de souvenirs et de liens avec le monde. Autrement dit, l’être humain est biologique, mais aussi symbolique.


Découvrez davantage : Engager une discussion sur les désirs sexuels


Types de dysfonction sexuelle féminine

D’un point de vue médical, les dysfonctions sexuelles féminines ont été cataloguées en plusieurs types. Chacun ayant ses propres causes et caractéristiques :


Dysfonction du désir sexuel hypoactif : il s’agit d’une diminution du désir sexuel lors de moments spécifiques de la vie

Trouble de l’excitation sexuelle : cela correspond à la difficulté ou à l’impossibilité de mettre en marche les mécanismes physiologiques associés à la sexualité

Douleur liée au coït : elle est connue également sous le nom de dyspareunie. Il s’agit de la douleur physique ressentie lors des relations sexuelles. Elle est souvent associée au vaginisme, qui est la contraction involontaire des muscles du vagin. Ce qui rend difficile le coït

Trouble orgasmique : il s’agit de la difficulté à atteindre l’orgasme après l’excitation

Principales causes physiques

Une femme en consultation médicale pour cause de dysfonction sexuelle féminine

La dysfonction sexuelle féminine est presque toujours associée à des problèmes physiques et émotionnels. En général, les problèmes physiques sont résolus en peu de temps. En revanche, les difficultés émotionnelles ont besoin davantage de temps pour être réglées.


Parmi les causes physiques, nous pouvons citer les suivantes :


Maladies chroniques : certaines maladies ont un impact sur le désir sexuel. Par exemple, le diabète, le cancer, l’arthrite, la sclérose en plaques et les maladies cardiaques

Problèmes gynécologiques : des problèmes dans les muscles pelviens, souvent après une intervention chirurgicale dans cette zone, peuvent affecter le désir sexuel. Ainsi que quelques troubles tels que l’endométriose ou la cystite

Problèmes hormonaux : ils correspondent à la diminution d’œstrogènes ou du niveau de testostérone. La première est due à la ménopause, ou à l’insuffisance ovarienne prématurée. Quant à la seconde, elle est due à l’ablation des ovaires ou au vieillissement

Médicaments : certains médicaments et substances addictives peuvent altérer la fonction sexuelle. Parmi eux, nous trouvons les antihypertenseurs et les antidépresseurs. L’alcool et autres psychoactifs peuvent également jouer un rôle dans la sexualité

Lisez aussi : 6 raisons pour lesquelles vous ne profitez pas pleinement de votre sexualité


Principales causes psychologiques et sociales

 


Les facteurs émotionnels ont toujours un impact important sur la vie sexuelle. Le plus important d’entre eux est un passé d’abus physique, sexuel ou émotionnel au cours de l’enfance ou de l’adolescence. Cela crée alors un traumatisme qui peut durer sur le long terme s’il n’est pas traité correctement.


En plus de cela, d’autres facteurs peuvent aussi jouer un rôle dans la dysfonction sexuelle féminine :


Stress ou anxiété : l’angoisse et les inquiétudes diminuent l’intérêt pour le sexe ou limitent le plaisir

Dépression : les états dépressifs inhibent les mécanismes physiologiques du sexe et réduisent de manière significative l’intérêt sexuel

Inhibitions : elles s’expriment par la peur de l’intimité, la peur de perdre le contrôle, la crainte de ne pas être performant, ou la honte et la faible estime de soi

Fatigue : la fatigue limite la capacité à profiter de la sexualité. Par exemple, un emploi du temps trop serré peut facilement entraîner des dysfonctions sexuelles féminines

Problèmes de couple : lorsqu’il y a des difficultés non résolues au sein du couple, cela se reflète généralement dans la sexualité

Croyances erronées : parfois, les facteurs religieux ou idéologiques conduisent à penser que le plaisir sexuel est négatif

Est-il possible de surmonter une dysfonction sexuelle féminine ?

La dysfonction sexuelle féminine est facilement surmontable avec un traitement adéquat. Dans la plupart des cas, cela est temporaire. Il est donc judicieux de consulter un sexologue, un professionnel compétent et formé pour aborder toutes les variables impliquées.

                         

Causes de la dysfonction sexuelle féminine

Avez-vous déjà expérimenté un orgasme prolongé ? C'est une expérience qui va au-delà d'un orgasme régulier et qui est plus intense. Dans cet article, nous découvrirons comment l'atteindre.

                            

Avez-vous déjà vécu un orgasme beaucoup plus intense que la normale ? Sa durée était-elle également différente ? C’est ce que l’on appelle un orgasme prolongé, une expérience de plaisir largement plus agréable qui nous permet de jouir pleinement.

                                     

Si vous avez déjà expérimenté ce type d’orgasme de temps en temps, vous vous demandez sûrement ce que vous pouvez faire pour le vivre plus souvent. Tout au long de cet article, nous vous apportons les réponses à vos questions. Nous examinerons également de plus près la nature de l’orgasme prolongé.



Qu’est-ce qu’un orgasme ?

Une femme qui vit un orgasme prolongé

Un orgasme est une sensation de plaisir intense qui selon l’article Orgasme et impact sur la qualité de vie : “est un phénomène neurophysiologique qui entraîne une contraction de la musculature bulbo-caverneuse et coïncide généralement avec l’éjaculation”.


Ce que cette définition ne dit pas, c’est que l’orgasme peut se traduire par plusieurs types et intensités. Par exemple, l’homme peut atteindre l’orgasme sans éjaculer (éjaculation rétrograde), et la femme éjaculer en jouissant (squirt). En outre, nous pouvons sentir des orgasmes beaucoup plus jouissifs que d’autres.


Concernant le degré de plaisir, c’est là qu’intervient l’orgasme prolongé. Qui n’a rien à voir avec le fait qu’une personne soit multi-orgasmique. Dans ce cas, l’orgasme double son intensité, amenant la personne à son extase la plus extrême.

                           

Par ailleurs, ce terme a été inventé par Patricia Taylor lors de ses recherches. Elle décrit comment, pendant cette expérience, on se laisse aller durant quelques secondes voire même quelques minutes, pour se retrouver avec une sensation de relaxation et de grande satisfaction. Une expérience orgasmique très éloignée d’un orgasme “moyen”.


Orgasme prolongé et tantra

Un couple cherchant à atteindre l'orgasme prolongé

Une chose que Patricia a clarifié dans ses recherches est que l’orgasme prolongé peut être similaire chez les hommes et les femmes. C’est un aspect essentiel, car on considère souvent que les femmes ressentent plus de plaisir que les hommes pendant l’orgasme.


Par ailleurs, ce concept d’orgasme prolongé a eu une association particulière avec le tantra. En effet, dans le tantra, on ne se focalise pas sur le plaisir mais plutôt sur les expériences sensorielles et sensuelles. Par exemple, les caresses, le toucher de la peau, l’humidité des baisers… Tout ce dont nous ne sommes pas conscient généralement.


Cette prise de conscience qui élargit nos sens permet de profiter encore plus de l’expérience sexuelle. Sans se précipiter, jouir de ce à quoi nous ne faisons pas attention normalement, percevoir les odeurs et vivre une relation sexuelle très différente, mais extrêmement agréable.


Le résultat ? Un orgasme prolongé qui produit des contractions non seulement dans les parties génitales, mais également dans tout le corps où le contrôle n’a pas sa place.


Comment atteindre un orgasme prolongé ?

Maintenant que nous savons en quoi consiste un orgasme prolongé, il est essentiel de savoir comment le vivre plus souvent. Pour cela, il est nécessaire de mettre en pratique certaines habitudes qui peuvent aider à atteindre ce type d’orgasme :


Exercices Kegel : cela consiste à travailler les muscles du plancher pelvien en les contractant et en les relâchant. Il existe des applications ainsi que des conseils qui, mis en pratique 5 minutes par jour, nous permettront de jouir d’orgasmes bien plus agréables

Masturbation : elle nous aide à connaître notre corps, à l’explorer afin de savoir ce qui nous plait, à quelle intensité et où toucher. Cela nous apporte également plus de confiance avec l’autre personne pour atteindre le maximum de plaisir avec elle

Se centrer sur le moment : si, lors des relations sexuelles, nous pensons à d’autres choses ou que nous ne sommes pas sûrs de notre corps, il sera impossible d’atteindre un orgasme prolongé. Être dans le présent est fondamental pour vivre une expérience plaisante

Êtes-vous capable de distinguer les types d’orgasmes que vous éprouvez ? Avez-vous déjà identifié un orgasme prolongé ? Nous vous encourageons à découvrir votre corps. A résoudre les insécurités qui peuvent nous limiter au moment de nous toucher, ou de profiter de la vie avec une autre personne.

                                 

Essayer et expérimenter ne mènera pas uniquement à des orgasmes prolongés, sinon à des orgasmes multiples, des squirts, etc. De plus, cela nous permettra de découvrir d’autres façons de jouir et d’obtenir du plaisir. Qu’attendez-vous pour vivre au maximum le plaisir extrême ?

Comment atteindre l’orgasme prolongé ?

Les maux de tête orgasmiques sont beaucoup plus fréquents chez les hommes. Pour chaque femme qui en fait l'expérience, quatre hommes en souffrent. Dans la plupart des cas, il s'agit d'un mal de tête bénin.

                                 

Le mal de tête orgasmique ou céphalée orgasmique associé à l’activité sexuelle est un problème répandu. On estime qu’elle affecte 80 % des hommes. En fait, on pense que presque tout le monde en a fait l’expérience à un moment de sa vie.



Les données disponibles indiquent que 75% des cas correspondent à la céphalée orgasmique elle-même et les 25 % restants sont préorgasmiques, c’est-à-dire qu’elles surviennent plus tôt. L’intensité et la gravité varient d’une personne à l’autre.


Quelles sont les causes des maux de tête liés à l’orgasme ?

En principe, le mal de tête de l’orgasme est dû à une excitation sexuelle accrue. Cela conduit les muscles du cou et de la tête à se contracter. Une autre cause possible est l’augmentation de la pression artérielle.


D’autre part, une étude de la faculté de médecine de l’Université Wake Forest a établi que ceux qui souffrent de migraine ont tendance à éprouver un désir sexuel plus intense que ceux qui souffrent d’autres types de maux de tête. Selon cette recherche, les migraines et le désir sexuel sont causés par de faibles taux de sérotonine.

                                           

D’autres recherches de l’hôpital Clínico Universitario de Valladolid indiquent que les maux de tête d’orgasme pourraient être liés à l’activité de l’hypothalamus. Le sexe augmente l’activité hypothalamique et cela déclencherait le mal de tête. Cependant, les chercheurs précisent que d’autres études sont encore nécessaires à cet égard.


Une céphalée orgasmique est souvent douloureuse.

Les patients souffrant de migraine auraient un désir sexuel plus élevé que le reste de la population, ce qui pourrait être l’impulsion pour comprendr ce trouble.

Comment se ressent ce type de mal de tête ?

Le plus souvent, une céphalée orgasmique survient soudainement, avant ou pendant le point culminant ou la fin de l’activité sexuelle. C’est un coup de couteau et beaucoup le décrivent comme un éclair à la tête. C’est l’une des formes les plus graves de maux de tête.


Dans d’autres cas, l’inconfort commence par une douleur sourde à la tête et au cou. Peu à peu, il augmente, à mesure que l’excitation sexuelle augmente.


Le déroulement est imprévisible. L’épisode peut durer d’une minute à trois heures et même plusieurs jours. Parfois, il commence à diminuer progressivement jusqu’à ce qu’il disparaisse, tandis qu’à d’autres moments, il cesse de se faire ressentir aussi soudainement qu’il est apparu.


Ce type de mal de tête peut ainsi survenir une ou plusieurs fois au cours d’une période de quelques mois. On estime que 50 % des personnes touchées subissent ce type d’épisodes pendant 6 mois. 40 % en ont jusqu’à un an. Elle est plus fréquente chez les hommes âgés de 25 à 35 ans.


Quand devriez-vous consulter le médecin ?

Les maux de tête orgasmiques sont considérés comme bénins et, en principe, il n’y a rien à craindre. Cependant, il existe des cas dans lesquels une autre maladie n’a pas été détectée. Il est recommandé, si la douleur est trop intense et soudaine, de consulter votre médecin.


La consultation est également recommandée si d’autres symptômes apparaissent, tels que :


Vomissement.

Raideur de la nuque.

Diminution ou perte de sensation.

Paralysie complète ou partielle.

Douleur très intense durant plus d’un jour.

Perte de conscience.

Convulsion.

Le médecin fera ainsi un entretien et un examen physique. Des tests tels que l’IRM, la tomodensitométrie, l’angiographie ou la ponction lombaire peuvent être jugés nécessaires. Le but est de confirmer ou d’exclure des problèmes graves tels que les anévrismes.


Une femme souffrant de céphalée orgasmique.

Certains signes de ce mal de tête apparaissent avant l’orgasme ou même avant le début des rapports sexuels eux-mêmes.

Un trouble presque toujours bénin

Dans la plupart des cas, le mal de tête orgasmique n’est associé à aucune autre pathologie. Par conséquent, pour le surmonter, il suffira de prendre un analgésique couramment utilisé.


Parfois néanmoins, le médecin juge bon de prescrire des médicaments plus spécifiques. Il convient de noter que plusieurs des médicaments utilisés pour traiter la migraine et d’autres types de maux de tête peuvent affecter la fonction sexuelle.

                                 

Une bonne partie des personnes éprouvent ce genre de maux de tête une seule fois dans leur vie. Un autre groupe important n’a ces épisodes que pendant quelques mois. Il existe également des cas dans lesquels le mal de tête est plus continu et provient de la pression émotionnelle causée par le préjugé de l’efficacité sexuelle.

Céphalée orgasmique : que dois-je savoir ?

                                         



La langue poilue noire est presque toujours le résultat d'une mauvaise hygiène bucco-dentaire. Il ne suffit pas de maintenir des routines de nettoyage quotidiennes, mais vous devez vous nettoyer la bouche correctement.


La langue poilue noire est l’une de ces conditions qui semble alarmante sans être un problème de santé grave. Comme son nom l’indique, c’est une maladie qui se caractérise par un ton sombre sur la langue qui donne l’impression d’avoir des cheveux.


En réalité, la langue poilue noire est une condition inoffensive et temporaire. Habituellement, elle n’est résolue qu’en éliminant le facteur qui la cause et qui est généralement liée à l’hygiène bucco-dentaire. Il est très rare qu’elle provoque des douleurs ou d’autres symptômes.


Qu’est-ce qui peut causer la langue poilue noire ?

D’une manière générale, la langue poilue noire est causée par la prolifération de bactéries dans la bouche. Cet organe a de nombreuses petites bosses à sa surface appelées papilles.


Parfois, des cellules mortes de la peau s’y accumulent. Lorsque cela se produit, elles deviennent plus longues que d’habitude et piègent plus facilement les bactéries, les champignons, la nourriture et le tabac.


Cette accumulation de déchets tâchent les papilles. C’est alors qu’elles acquièrent l’aspect caractéristique de la langue poilue noire, c’est-à-dire un ton sombre et l’impression optique qu’elle est poilue.


L’ensemble de ce processus peut se produire pour diverses raisons, parmi lesquelles nous trouvons les suivantes :


Hygiène bucco-dentaire inadéquate.

Ingestion d’antibiotiques, qui modifie la composition des bactéries et des levures dans la bouche.

Xérostomie ou bouche sèche.

Utilisation régulière de bains de bouche contenant des agents irritants ou oxydants.

Consommation excessive d’alcool, de café ou de thé noir.

Le fait de fumer.

Régime alimentaire doux qui rend difficile l’exfoliation des cellules mortes sur la langue.

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Un fumeur avec une cigarette.

Le tabac peut agrandir les papilles, ce qui entraînerait davantage de nicotine piégée et la décoloration qui en résulte.

Quels sont les symptômes d’une langue poilue noire ?

Le signe distinctif de la langue poilue noire est le changement d’apparence de cet organe. Il acquiert une couleur sombre qui peut être noire, mais aussi brune, verte, jaune, blanche ou beige.


De même, à première vue, il semble que la langue soit couverte de poils ou de cheveux. Les personnes atteintes ressentent souvent un goût métallique dans la bouche et des changements de goût. Il y a aussi une mauvaise haleine. Enfin, si le problème est très grave, la personne peut ressentir des picotements.

                                         

La langue poilue noire n’est pas un problème de santé grave, malgré l’apparence dramatique de la maladie. Cependant, si cela soulève des inquiétudes ou des doutes, il est préférable de consulter votre médecin.


De même, il vaut la peine de consulter un médecin si le trouble persiste longtemps, malgré l’adoption de mesures d’hygiène rigoureuses. Dans ces cas, il vaut mieux exclure qu’il y ait un autre problème.


Traitement de la langue poilue noire

La langue poilue noire ne nécessite aucun traitement médical. Les mesures appropriées concernent les soins d’hygiène ou l’élimination des facteurs à l’origine du problème, tels que les bains de bouche irritants et le tabagisme.


Cependant, si ce qui se passe n’est pas clair ou si des symptômes supplémentaires apparaissent, il est préférable d’aller chez le médecin pour confirmer le diagnostic. Il est important de noter qu’il existe d’autres facteurs qui génèrent des symptômes similaires, tels que les suivants :


Certains aliments ou médicaments tachent la langue.

Cela peut être une manifestation d’une maladie virale ou fongique.

Les blessures font changer l’apparence de la langue. En particulier la leucoplasie velue.

Les produits contenant du bismuth peuvent altérer l’apparence, la rendant semblable à la langue poilue noire.

Conseils maison pour traiter et prévenir le développement de cette maladie

Une femme se brosse les dents.

L’hygiène buccale est essentielle pour arrêter l’apparition de la langue poilue noire.

Il est préférable d’identifier d’abord le facteur qui cause la langue poilue noire. Si des antibiotiques ont été pris, il est logique de penser que le problème disparaîtra quelques jours après avoir fini de les prendre.


Il est important de vérifier la composition du bain de bouche utilisé. En principe, vous pouvez en choisir un autre avec une formule différente. Dans tous les cas, l’important est d’être plus rigoureux avec l’hygiène bucco-dentaire :


Se brosser la langue : le goût du dentifrice peut donner la fausse impression que la langue est propre, mais ce n’est pas le cas. Le mieux est de la brosser sans être trop énergique, en utilisant une brosse à poils doux ou un grattoir à langue.

Brossez-vous les dents après avoir mangé : idéalement, utilisez un dentifrice au fluor et une brosse à dent après chaque repas ou au moins deux fois par jour.

Le fil dentaire : il doit être utilisé au moins une fois par jour, car il aide à éliminer la plaque et les résidus alimentaires qui restent entre les dents.

Rendez-vous chez le dentiste : cela doit être fait au moins deux fois par an ou en cas de situation anormale.

Intensifier l’hygiène

Si la présence d’une langue poilue noire est détectée, il est préférable d’intensifier les routines d’hygiène bucco-dentaire. Le brossage de la langue doit être effectué deux fois par jour. Une fois que le problème disparaît, faites-le au moins une fois par jour.


Il peut être judicieux d’utiliser un bain de bouche composé de peroxyde d’hydrogène et d’eau. La dilution se fait avec une partie de peroxyde pour cinq parties d’eau. Ce composé est utilisé deux fois par jour et doit être rincé à l’eau.

                                       

Langue poilue noire : causes, symptômes et conseils

                                 


Une vingtaine de minéraux interviennent dans une multitude de fonctions physiologiques. Certains font cependant défaut dans notre alimentation courante.


Zinc, phosphore, magnésium… Les minéraux ne représentent que 4% de notre poids, mais ce sont des éléments clés qui interviennent dans une multitude de fonctions physiologiques. Il n’y a pas d’hémoglobine (la protéine qui transporte l’oxygène du sang) sans fer; pas d’ADN, la molécule de l’hérédité, sans phosphore; et pas de contraction musculaire sans calcium, potassium et magnésium.


Quant à la minéralisation osseuse, elle nécessite du calcium en grande quantité, ainsi que du phosphore et du magnésium. En outre, la plupart des éléments minéraux agissent à plusieurs niveaux. À lui seul, le magnésium participe ainsi à plus de 300 réactions biochimiques: il intervient dans le métabolisme des lipides et du glucose, la synthèse des protéines...


Des carences fréquentes

Les apports journaliers recommandés ont beau être modestes -de quelques dizaines de microgrammes à quelques grammes-, ces nutriments essentiels font quand même souvent défaut dans notre alimentation. Quatre importantes études épidémiologiques menées depuis trente ans ont abouti aux mêmes constats: les Français ont des apports insuffisants en magnésium, zinc et fer.


Dans les années 2000, l’étude Suvimax (pour SUpplémentation en VItamines et Minéraux Anti-oXydants) montrait ainsi que 6% des hommes et 8,4% des femmes avaient un déficit en magnésium sanguin; 23% des femmes, des réserves en fer insuffisantes; et 8% de la population des carences en zinc.

                       

Or les déficits en magnésium peuvent être à l’origine de nausées, perte d’appétit, vomissements, fatigue, anxiété, insomnie… Le manque de fer peut conduire à une diminution du taux de globules rouges avec son cortège de problèmes: fatigue intense, essoufflements, pâleur, irritabilité… Quant au déficit en zinc, il se solde par des retards de croissance, une mauvaise résistance aux infections, des difficultés à cicatriser…


Les fruits et légumes, grands pourvoyeurs de minéraux

Pour éviter ces carences, il faut boire suffisamment d’eau par jour. Les minéraux disponibles dans notre alimentation sont issus des roches et transportés grâce au lessivage des sols par les eaux. Ils transitent donc dans celles-ci avant d’être assimilés par des organismes vivants, végétaux ou animaux, et c’est donc dans l’eau qu’il faut aller les chercher en priorité. D’autant plus que des études ont notamment montré que le magnésium de l’eau était mieux assimilé par le corps que celui des aliments solides.


Attention, pour ne pas se priver du magnésium présent dans l’eau du robinet, il faut éviter de la filtrer. On peut aussi opter pour des eaux minérales qui en contiennent au moins 80 ml/l comme Hépar, Contrex, Quézac ou Badoit.


Mais il n’y a pas que l’eau. «Il faut aussi suivre la règle des cinq fruits et légumes par jour, car ils constituent d’incontournables sources de magnésium et de fer», rappelle le docteur Jean-Jacques Altman, diabétologue à l’Hôpital européen Georges-Pompidou, à Paris. Pour le zinc, il faut privilégier les céréales complètes plutôt que raffinées. Des règles simples qui permettent à toute personne en bonne santé de recevoir les minéraux dont elle a besoin sans recourir à des compléments enrichis en minéraux.

                                     

Calcium, magnésium, sodium, fer...Des minéraux indispensables pour être en forme



 une nouvelle étude impliquant 120.000 personnes montre que le sucre contenu dans les sodas augmente le risque de développer des maladies cardiovasculaires et donc, de décéder prématurément.


Sodas, thés glacés industriels, sirops…Les boissons sucrées sont-elles un problème de santé publique? C’est-ce qui montre une étude publiée le 18 mars dans la revue scientifique Circulation, qui conclut qu’elles sont à l’origine d’un risque supplémentaire de décès prématuré. Les auteurs de l’étude ont suivi près de 120.000 Américains pendant 30 ans. Les plus gros buveurs (plus de deux canettes par jour) ont un risque accru de 21% de décéder plus tôt que les personnes qui ne boivent pas du tout de boissons sucrées.


Un tel lien avait déjà été mis en évidence par une étude publiée en 2015. Ce nouveau travail apporte une information supplémentaire de taille: plus la consommation de boissons sucrées est importante, plus le risque de décéder prématurément est grand (+1% pour moins d’un soda par semaine, +6% pour moins d’un soda par jour, +14% pour un ou deux sodas par jour, et +21% pour plus de 2 sodas par jour).


L’étude montre que ces décès sont majoritairement dus aux maladies cardiovasculaires (infarctus, AVC, etc.), avec une augmentation de 31% du risque d’en développer une pour ceux qui consomment au moins deux canettes par jour. Et chaque canette supplémentaire est sanctionnée d’un risque accru de 10%! Les chercheurs ont pris en compte une multitude de facteurs, tels que le tabagisme et le régime alimentaire. Mais selon eux, cette augmentation du risque de mortalité est imputable aux boissons sucrées seules.


Que se passe-t-il quand on boit un soda?

Le sucre contenu dans les sodas agit sur notre organisme de diverses façons. Tout d’abord, un taux de glucose (une forme de sucre) dans le sang trop élevé endommage les parois internes des artères, les rendant plus fragiles et plus sensibles à l’accumulation de cholestérol. Ce dernier y pénètre et favorise la formation des plaques d’athérome qui vont progressivement boucher les artères, causant, à terme, infarctus ou accident vasculaire cérébral (AVC). Quand cet excès de sucre dans le sang devient fréquent, c’est tout le métabolisme qui est déréglé, avec à la clé une prise de poids, de l’hypertension ou encore un diabète de type 2. Autant de facteurs qui augmentent le risque d’avoir une maladie cardiovasculaire.

                               

Les sodas, pires que les gâteaux?

«Les sodas, les jus de fruits contenant des sucres ajoutés ou les thés glacés sont la première source de sucre pur dans notre alimentation»


Guillaume Walther, spécialiste des maladies cardiovasculaires


Pourquoi les boissons sucrées sont-elles plus incriminées que les autres aliments? «Les sodas, les jus de fruits contenant des sucres ajoutés ou les thés glacés sont la première source de sucre pur dans notre alimentation», explique Guillaume Walther, spécialiste des maladies cardiovasculaires à l’université d’Avignon. «Dans ces boissons, il n’y a pas de fibres alimentaires, or ce sont elles qui permettent de ralentir la vitesse d’absorption du sucre dans le sang. Celui-ci est donc absorbé immédiatement, ce qui fait augmenter la glycémie dans le sang d’une manière plus importante qu’un gâteau contenant la même quantité de sucre.»


Une fois dans notre sang, le sucre commence son œuvre destructrice. C’est ce qu’ont découvert Guillaume Walther et son équipe à l’occasion d’une étude publiée dans le journal Arteriosclerosis, Thrombosis, and Vascular Biology en 2017. «Nos artères ont une capacité innée à adapter leur diamètre en fonction des besoins en sang de nos organes, mais une canette de soda suffit à perturber temporairement cette capacité de dilatation», explique le chercheur. «Même chez des personnes jeunes et en bonne santé, on observe ce dysfonctionnement». En clair, une surdose de sucre, même ponctuelle, met en difficulté nos artères.


«Même chez des personnes jeunes et en bonne santé, on observe ce dysfonctionnement. »


Guillaume Walther, chercheur à l’université d’Avignon


«Normalement, les cellules qui tapissent nos artères produisent du monoxyde d’azote, qui est un vasodilatateur, c’est-à-dire qu’il provoque un élargissement des vaisseaux sanguins», détaille Cyril Reboul, chercheur et coauteur de l’étude avec Guillaume Walther. «Mais la hausse rapide de la glycémie causée par une boisson sucrée entraîne une baisse de la fabrication de monoxyde d’azote et donc une diminution de la capacité des vaisseaux sanguins à se dilater», précise-t-il. «Par ailleurs, cette hyperglycémie favorise le stress oxydatif, un phénomène chimique nuisible pour les cellules.»


Selon les chercheurs, cet effet transitoire pourrait devenir chronique si la consommation de boissons sucrées est régulière, abîmant significativement l’état des artères et augmentant le risque de développer, à terme, une maladie cardiovasculaire. D’après les dernières recommandations nutritionnelles de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses), mieux vaut ne pas boire plus d’une boisson sucrée par jour. Une quantité qui s’avère déjà excessive selon ces études.

                             

Boire du soda tous les jours abîme les artères


 

NOS CONSEILS SANTÉ - De tous les types de pain, c’est le pain complet bio qui présente le meilleur apport en nutriments, qu’il soit agrémenté ou non de graines et de céréales.


Le pain? So Frenchy! Il est depuis longtemps une icône alimentaire dans notre pays. Un touriste pénétrant dans une boulangerie française est toujours ébahi devant la diversité de ce qui lui est proposé: pains de campagne, de seigle, complets, baguettes tradition, à l’épeautre, à l’orge, à l’avoine, au pavot… Il y en a vraiment pour tous les goûts! Mais sans que les apports nutritionnels et les bénéfices santé soient forcément au rendez-vous. Car les fibres, les macro et les micronutriments apportés dépendent en réalité de la manière dont la farine, puis le pain auront été fabriqués…


«Il y a un siècle, on cultivait, en France des centaines de ­variétés de blé, mais aujourd’hui, il n’y en a plus que ­quelques dizaines, et les variétés ont complètement changé.»


Denis Lairon, nutritionniste et chercheur émérite

                                       

«Il y a un siècle, on cultivait, en France des centaines de variétés de blé, mais aujourd’hui, il n’y en a plus que quelques dizaines, et les variétés ont complètement changé», déplore le nutritionniste et chercheur émérite Denis Lairon. Un phénomène d’industrialisation et de mécanisation forcées de la boulangerie, accompagné d’un pétrissage mécanique extrêmement puissant, a conduit à sélectionner du blé avec des protéines de taille importante.


Ce sont elles qui constituent le gluten et permettent au pain de lever plutôt que de s’aplatir comme une crêpe lors de la cuisson. Or, d’après le chercheur, leur taille importante aurait sa part de responsabilité dans la fréquence accrue des cas de sensibilité au gluten.


Complet et bio de préférence

Mais ce n’est pas le seul problème auquel sont potentiellement exposés ceux qui mangent du pain industriel. Car, outre les variétés de blé, ce qui a changé, c’est aussi le mode et le temps de fermentation de la pâte à pain. Plus cette fermentation est longue, plus les protéines du gluten sont prédigérées. Mais, pour cause d’impératifs de productivité et de rentabilité, le temps de fermentation est souvent raccourci. Par ailleurs, le levain traditionnellement utilisé pour cette fermentation est la plupart du temps remplacé par de la levure de boulanger.


Or, comme l’explique Denis Lairon, «le levain conduit au développement de levures à fermentation alcoolique, mais aussi de bactéries dont la fermentation lactique acidifie la pâte à pain et active des enzymes». Ces enzymes sont utiles pour prédigérer les protéines, mais elles dégradent aussi une molécule qui rend assimilable des minéraux comme le zinc, le fer, le magnésium ou le calcium. Autrement dit, un pain cuit à la levure nous prive d’oligoéléments. Et il sera d’autant moins intéressant du point de vue nutritionnel que la farine ayant servi à le fabriquer aura été raffinée…

«Le pain blanc, donc raffiné, a longtemps été mieux considéré que le pain gris ou noir, qui avait très mauvaise presse, commente Denis Lairon, alors que, sur le plan nutritionnel, c’est exactement l’inverse: dans les farines blanches utilisées aujourd’hui, on a perdu les trois quarts des minéraux, des vitamines et des fibres.»


«Dans les farines ­blanches utilisées aujourd’hui, on a perdu les trois quarts des minéraux, des vitamines et des fibres.»


Denis Lairon, nutritionniste et chercheur émérite ; 

On les retrouvera dans des pains complets, généralement à base de blé, mais pouvant contenir d’autres céréales: ils sont faits d’une farine où tout le grain a été conservé avec le germe, les réserves (amande) et l’enveloppe (son).

                             

Mais si vous choisissez votre pain complet, mieux vaut alors miser sur le label agriculture biologique: les céréales non bio sont, en effet, traitées pendant leur culture, puis durant leur stockage, et c’est essentiellement sur l’enveloppe de leurs grains que se trouvent les résidus de pesticides. Quant au pain multicéréales, il faut savoir que ses farines ne sont pas nécessairement complètes.

Quel type de pain est le meilleur pour la santé?


 

Le régime dît du jeûne intermittent a de nombreux adeptes dans le monde entier, mais est-il sain ? Nous avons examiné les études existantes sur le sujet. Découvrez nos conclusions dans cet article !


Le jeûne intermittent est à la mode depuis quelques temps pour perdre du poids. Il est particulièrement prisé des personnes qui ont du mal à suivre un régime amincissant. Mais savez-vous en quoi consiste le jeûne intermittent et comment fonctionne ce régime ? Nous allons vous en parler en détail dans cet article.

                                   

Avant toute chose, nous devons préciser que le jeûne intermittent n’est pas un régime en soi. Il s’agit plutôt d’un protocole d’alimentation. A partir de là, nous pouvons considérer que tout régime alimentaire peut se prêter au mécanisme du jeûne en suivant une série de conseils dont nous allons maintenant parler.


Le jeûne intermittent pour perdre du poids

Perdre du poids peut être une tâche difficile. Si vous avez des angoisses alimentaires ou si vous ne pouvez tout simplement pas résister à un bon plat ou à un dessert savoureux, lisez ce qui suit.


Qu’est-ce que le jeûne intermittent ?

Comme son nom le suggère, ce protocole alimentaire pour perdre du poids consiste à ne pas manger d’aliments riches en calories pendant un plusieurs heures.



Pour que les choses soient claires, prenons un exemple. Marie a décidé d’essayer le jeûne intermittent pour perdre quelques kilos superflus. Elle a donc décidé de jeûner deux fois par semaine durant une période de 16 heures. Et ce, sous surveillance médicale.


En effet, même si le protocole de jeûne intermittent n’est pas une maladie alimentaire, il doit cependant être contrôlé par un nutritionniste.


Comment fonctionne le jeûne intermittent ?

Une femme mange une salade.

Selon les personnes qui défendent ce régime, chaque fois que nous mangeons, nous absorbons plus d’énergie que nous n’en avons réellement besoin. Ainsi, le corps a tendance à stocker ces calories.


Le sucre qui est issu des glucides ne peut pénétrer dans les cellules qu’avec l’aide de l’insuline. Cette hormone produite par le pancréas aide en effet à stocker l’énergie pour plus tard.


Lorsque nous absorbons plus d’énergie que nous en avons besoin, une partie de cette énergie est transformée en graisse et distribuée dans le corps. Cependant, lorsque vous jeûnez, votre taux d’insuline baisse. En effet, cette substance n’est alors plus nécessaire puisqu’il n’y a plus de sucres à stocker. Le corps commence alors à utiliser les graisses stockées pour produire de l’énergie.


Le fonctionnement de ce protocole est donc facile à comprendre. On part du principe qu’en alternant des épisodes de consommation alimentaire et de stockage d’énergie (avec un taux d’insuline élevée) avec des épisodes de jeûne (avec un taux d’insuline faible), l’organisme brûle plus de graisses qu’il ne le ferait lorsque l’alimentation est continue. En fait, plusieurs études établissent même un lien entre cette pratique et la perte de poids.


Ainsi, la personne qui entame un régime de jeûne intermittent doit suivre des périodes de jeûne préétablis. Leur durée peut varier en fonction des besoins de chacun et de la volonté de la personne.


Les différents types de régimes à jeun intermittents

Le jeûne intermittent peut être pratiqué de différentes manières. Toutefois, nous présentons ci-dessous quelques unes des différentes façons de le mettre en œuvre :


Le jeûne 12/12. Ce régime consiste à prendre un petit déjeuner puis un dîner séparés par 12 heures de jeûne. Par exemple, le petit déjeuner peut être pris à 7 heures et le dîner à 19 heures.

Le jeûne 16/8. L’idée consiste ici à jeûner pendant 16 heures puis à manger pendant 8 heures. Notons qu’il est important de continuer à boire pendant la période de jeûne. De cette manière, on peut imaginer une période de jeûne de 21 heures à 13 heures suivi par une période de repas de 13 heures à 21 heures.

Le jeûne 20/4. La période de jeûne s’étend sur une période de 20 heures. Elle est suivie de 4 heures pendant lesquelles on peut manger.

Le jeûne 24. La période de jeûne correspond donc, dans ce cas, à toute la journée. La consommation d’eau est bien sûr encouragée et le jeûne est alors pratiqué un jour sur deux. Selon une recherche publiée dans la revue JAMA, ce modèle s’avère bénéfique pour réduire le poids et l’insulinorésistance.

                                                     

Le jeûne 48. Ceux qui suivent le régime doivent jeûner pendant deux jours complets, en maintenant toujours une bonne hydratation.

Est-ce sain de jeûner ?

Nous jeûnons tous les jours, même si nous ne le voulons pas. La définition du jeûne est en effet de ne pas manger pendant un certain temps. C’est par exemple ce que nous faisons chaque jour pendant notre sommeil.


Selon différentes études, lorsque le jeûne est contrôlé dans le cadre d’un régime alimentaire équilibré et que le sujet n’a pas de problèmes de santé tel que du diabète, le jeûne permettrait de perdre du poids et donc de réduire les risques cardiovasculaires causés par l’accumulation de graisses.


Cependant, certains spécialistes soulignent également que le jeûne peut causer de graves dommages à l’organisme chez les personnes diabétiques (car le jeûne peut provoquer de l’hypoglycémie), chez ceux qui souffrent d’autres problèmes chroniques ou chez les femmes enceintes.


Avant de se lancer dans un régime à jeun intermittent, parlez-en donc d’abord à votre médecin.


Des avantages similaires à ceux des autres régimes alimentaires


Une femme avec une balance.

En 2018, le centre allemand de recherche sur le cancer (Deutsches Krebsforschungszentrum, DKFZ) a mené une recherche appelée HELENA. Il s’agissait alors de déterminer si le régime à jeun intermittent pouvait réellement être bénéfique à la perte de poids et s’il était dangereux pour la santé. Les conclusions de l’étude sont les suivantes :


C’est un régime similaire aux autres régimes amaigrissants.

Il semble principalement aider les personnes qui ont des problèmes à maintenir une discipline alimentaire tous les jours de la semaine.

Les personnes qui ont suivi ce régime ont perdu autant de poids que celles du groupe témoin qui suivaient un régime conventionnel.

Le jeûne permettrait de réduire la graisse corporelle

D’autres recherches de 2016 ont suggéré qu’après 8 semaines de jeûne suivant le mode 12/8, associées à des séances de sport, les hommes auraient amélioré leurs marqueurs de santé tout en réduisant leur masse graisseuse. Et ce, sans générer de perte de masse musculaire.


Le régime à jeun contribuerait à modifier l’appétit

Les spécialistes ont également étudié un groupe de personnes souffrant d’obésité et de prédiabète afin de déterminer si ce régime leur conviendrait. Au cours de ce test, ces personnes pouvaient manger pendant huit heures par jour.


Les résultats de cette étude ont montré qu’après cinq semaines, l’appétit de ces patients avait diminué ainsi que leur tension artérielle. Ils n’ont cependant pas perdu de poids.


Le jeûne intermittent est une technique fiable et efficace

Si vous envisagez de suivre le régime de jeûne intermittent, nous vous conseillons d’en parler au préalable à votre médecin. Il pourra alors vous guider et vous recommander si le jeûne est la réponse la mieux adapté à votre situation.

                                         

Tout ce que vous devez savoir sur le jeûne intermittent

L'organisme humain se compose de cellules de graisse blanche, beige et brune. Comment se comportent-elles ? Laquelle est bénéfique et laquelle est négative ? C'est ce que nous allons voir dans cet article.


Saviez-vous qu’il existait différents types de graisse corporelle ? L’organisme se compose d’adipocytes (cellules de graisse) de couleur blanche, beige et marron. Ainsi, en fonction de sa couleur, la graisse est soit bénéfique, soit négative.



Types de graisse corporelle

Graisse corporelle blanche

La graisse corporelle blanche est celle que nous connaissons tous, c’est-à-dire celle qui s’accumule. Elle agit comme réserve énergétique et son impact métabolique est responsable de toute la pathogénie associée à l’obésité. C’est malheureusement le type de graisse le plus abondant dans le corps humain et elle est plus importante chez les personnes obèses.


Graisse brune

Ce type de graisse est thermogénique : elle active le métabolisme pour obtenir de l’énergie sous forme de chaleur. En fait, sa couleur foncée est due à sa haute densité en mitochondries (unité énergétique des cellules).


L’activation d’adipocytes bruns augmente l’oxydation d’acides gras (lipolyse).


On pensait, jusqu’à il y a quelques années, que ce type de graisse corporelle n’était présent que chez les nouveau-nés pour maintenir une température optimale après leur apparition dans le milieu extérieur.


Néanmoins, on sait aujourd’hui que, même si on la retrouve dans une plus faible proportion, elle est aussi présente chez les adultes et est plus importante chez les personnes les plus minces, selon une étude publiée dans la revue Current Opinion in Lipidology.

                                   

Les sujets avec une obésité ont une plus faible quantité d’adipocytes bruns.


Chez le nouveau-né, on la retrouve localisée dans la région interscapulaire et elle peut représenter 5 % du poids corporel total. Chez les adultes, elle se trouve dispersée au milieu des adipocytes blancs, principalement dans la nuque, la région supra-claviculaire, le tissu péri-aortique, la région para-vertébrale et la zone périnéale.


Graisse corporelle beige

La découverte de la graisse beige est la plus récente. Il s’agit d’adipocytes blancs qui se comportent comme des bruns à cause de l’action de certains stimuli qui activent la sécrétion d’irisine. Quand le stimulus s’arrête, les adipocytes blancs récupèrent leur comportement originel.


L’irisine est une hormone qui provoque le brunissement de la graisse blanche.


Néanmoins, ce type de graisse se réduit avec l’âge, comme on l’affirme dans un article publié dans la revue Frontiers in Endocrinology.


D’après ce que nous venons de voir, nous pouvons deviner quels types de graisse corporelle sont les plus sains. L’objectif serait d’augmenter la quantité d’adipocytes bruns et de maximiser la transformation de graisse blanche en beige.


Stimuli qui favorisent le brunissement de la graisse blanche

Exercice physique contre l'obésité.

Le froid (<20ºC) et l’exercice physique sont les deux seuls stimuli capables d’activer la graisse brune et de faire en sorte que la blanche se comportent en tant que telle de façon momentanée. Ceci est essentiel dans la gestion de l’obésité et de ses complications.


Les études actuelles cherchent activement des moyens de faire brunir la graisse blanche et/ou de maximiser l’effet de la graisse brune.


Ceci est particulièrement important dans les cas d’obésité hyperplasique car il existe une augmentation du nombre d’adipocytes. Actuellement, les différentes façons d’aborder le surpoids et l’obésité permettent uniquement de réduire la taille des adipocytes et non leur nombre.


Ainsi, les personnes avec une obésité acquise au moment de l’enfance (obésité hyperplasique) auront toujours une plus grande tendance obésogène que les personnes qui sont devenues obèses plus tard (hypertrophique). Ici, étant donné que nous ne pouvons pas éliminer les adipocytes, il est essentiel de les faire se comporter différemment.

                                 

Le froid contre l’obésité


Jusqu’à maintenant, l’exposition au froid représente le stimulus le plus puissant et efficace pour activer la graisse brune et faire en sorte que les adipocytes blancs se comportent comme des bruns. On ne connaît toutefois pas encore de stratégies d’exposition qui soient efficaces sans être nocives pour le sujet.


Les chercheurs poursuivent leur quête de stratégies efficaces qui n’impliquent pas des expositions prolongées au froid.



Impact de l’exercice physique sur la graisse corporelle

Nous voyons donc bien, avec ce que nous avons mentionné, que les bénéfices de l’exercice physique vont bien au-delà de la dépense calorique que suppose sa pratique. 


Nous savons que l’exercice est capable de stimuler le tissu brun et de faire en sorte que le blanc se comporte en tant que tel de façon momentanée. Par ailleurs, comme nous l’avons développé dans des publications antérieures, il est capable de modifier l’épigénétique obésogène.


Il existe différents types de graisse

La science a démontré qu’il existait trois types de graisse différents dans l’organisme. On ne connaît cependant pas précisément la façon dont on peut stimuler l’augmentation des dépôts de graisses qui sont considérées comme bonnes pour la santé. Plus d’études sont nécessaires à ce sujet.

                                       

Types de graisse corporelle : blanche, beige et brune

                        
 



Si vous cherchez des recettes de soupe faciles pour vous réchauffer après une journée froide... cette recette de soupe aux pois chiches en petit lot de 20 minutes est la réponse. Cette recette de pois chiches est facile, saine, végétalienne, sans gluten et sans produits laitiers.

Pour être honnête avec vous, je n'ai pas quitté la maison depuis un certain temps (quoi d'autre est nouveau ?), donc je n'ai pas besoin de me réchauffer en ce moment. Je me débrouille plutôt bien, avec mes dix couches de vêtements qui ressemblent au sac de cadeaux du Père Noël. Mais en gris et sans cadeaux à l'intérieur.

 Si j'avais besoin d'un peu de chaleur, je serais certainement en train de faire cette soupe de pois chiches en ce moment même. C'est confortable et délicieux, et je peux la préparer en moins de 30 minutes. Pourquoi est-ce que je dis toujours que je ne veux pas manger les recettes que j'ai faites maintenant... Est-ce que ça s'appelle de l'auto-sabotage ? Comme si c'était génial pour mon moi passé et futur, mais le moi présent ? Non merci, je vais prendre un café avec un soupçon de reflux acide. C'est peut-être aussi parce qu'il est 9 heures du matin. Seuls l'univers et Neptune le savent.

Recette de soupe aux pois chiches végétalienne en 20 minutes ! Ajoutez cette recette de soupe savoureuse et facile à réaliser à votre plan de repas hebdomadaire pour le dîner ou le déjeuner ! Rapide, saine, chaude et délicieuse !

Si vous souhaitez vous joindre à moi pour réaliser cette savoureuse soupe à base de plantes, je vous fais part de la recette dès maintenant.

Ingrédients

    pois chiches en conserve
    oignon
    ail
    tomate
    poivre rouge
    menthe
    cumin
    huile d'olive
    épinards
    jus de citron
    sel
    poivre


Comment préparer une soupe aux pois chiches en 20 minutes

Soupe aux pois chiches Étape 1

Hacher l'oignon, râper la tomate et le poivron rouge. Rafraîchissez ensuite vos doigts en hachant l'ail.

Étape 2 : faire sauter les légumes

Ajoutez le tout dans une casserole chauffée avec de l'huile d'olive, de la menthe et du cumin et faites sauter pendant 1 à 2 minutes.

Étape 3 : Ajoutez les pois chiches

Remontez dans le temps et rincez et égouttez les pois chiches. Puis, ajoutez-les et faites-les sauter pendant 2 minutes supplémentaires. Ajoutez de l'eau, une bonne quantité de sel et couvrez avec un couvercle. Faites cuire à point pendant 8 à 10 minutes environ. Vous pouvez également utiliser du bouillon au lieu de l'eau salée.

Étape 4 : ajoutez les épinards

Ajoutez les épinards, goûtez et ajoutez du sel ou de l'eau si nécessaire.

Étape 5 : mélangez à moitié
                                    


Mélangez ½ la soupe à l'aide d'un mixeur manuel et remuez. Faites cuire pendant 2 minutes supplémentaires et retirez du feu.

Étape 6 : servir la recette de soupe aux pois chiches végétalienne de 20 minutes ! Ajoutez cette recette de soupe savoureuse et facile à réaliser à votre plan de repas hebdomadaire pour le dîner ou le déjeuner ! Rapide, saine, chaude et délicieuse !

Servez immédiatement et savourez avec des tranches d'avocat, du pain et des piments.

Recette de soupe aux pois chiches végétalienne de 20 minutes ! Ajoutez cette recette de soupe savoureuse et facile à réaliser à votre plan de repas hebdomadaire pour le dîner ou le déjeuner ! Rapide, sain, chaud et délicieux !
Rendement : 3
Recette de soupe aux pois chiches facile
Une recette de soupe aux pois chiches végétalienne en 20 minutes ! Ajoutez cette recette de soupe savoureuse et facile à réaliser à votre plan de repas hebdomadaire pour le dîner ou le déjeuner ! Rapide, saine, chaude et délicieuse !

Une recette de soupe aux pois chiches facile à réaliser avec des épices et des herbes pour vous réchauffer après une journée froide ! Cette recette de pois chiches est facile, saine, végétalienne, sans gluten et sans produits laitiers.
Temps de préparation
5 minutes
Temps de cuisson
15 minutes
Durée totale
20 minutes
Ingrédients

    2 boîtes de pois chiches, rincés et égouttés
    ½ oignon
    3 gousses d'ail
    1 petite tomate, râpée ou 2 cuillères à café de jus de tomate
    ⅓ poivre rouge, râpé
    2 cuillères à café de menthe ou une poignée de menthe fraîche
    1 cuillère à café de cumin
    1 1/2 cuillère à soupe d'huile d'olive
    1 tasse d'épinards
    1 cuillère à café de jus de citron
    Sel et poivre au goût

Instructions
                           

    Hacher l'oignon, râper la tomate et le poivron rouge, hacher l'ail.
    Ajoutez ces légumes dans une marmite chauffée avec de l'huile d'olive, de la menthe et du cumin et faites-les sauter pendant 1 à 2 minutes.
    Ajoutez les pois chiches rincés et égouttés et faites-les sauter pendant 2 minutes supplémentaires.
    Ajoutez 2 tasses d'eau ou de bouillon, une bonne quantité de sel et couvrez avec un couvercle. Faites cuire à point pendant 8-10 minutes environ.
    Ajoutez les épinards, goûtez et ajoutez de l'eau ou du bouillon si nécessaire.
    Ajoutez une autre gousse d'ail et une cuillère à café de jus de citron. Mélangez ½ la soupe à l'aide d'un mixeur manuel et ajoutez le tout. Faites cuire pendant 2 minutes supplémentaires et retirez du feu.
    Servez immédiatement et dégustez avec un peu d'avocat, du pain et des tranches de piment.

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Soupe aux pois chiches de 20 minutes | Recette végétalienne facile